Une première semaine de résidence pour la Cie Desprairies
Retour en mots et en images sur une semaine avec la Cie Desprairies entre Golinhac et Livinhac-le-Haut Un lundi en plein vent ! Et au…
Entre pages et paysages, l’artiste Grégory Edelein joue des multiples possibilités poétiques et politiques offertes par les potentialités que lui offre la parenthèse. Habituellement, ce petit signe de ponctuation de quelques millimètres, inscrit sur une page ou un écran, s’immisce entre les mots pour préciser ou digresser. Il a pour particularité d’être mobile (on peut le placer n’importe où dans la phrase), libre (de s’accorder ou pas au contexte, de changer de sujet, de changer de ton ou d’interlocuteur), il est enfin suppressible (la phrase se comprend sans la parenthèse). Ce sont ces différentes qualités que Grégory Edelein utilise hors de leur contexte habituel grâce à des parenthèses démesurées de plusieurs mètres, à échelle humaine (2,5 m) ou paysagère (5 m). Autour de ce projet photographique et vidéo, il organise des modes d’interventions participatifs dans l’espace public qui prennent sens dans des projets artistiques de territoire : balades, campements, déclaration d’indépendance, questionnaires, affichages dans l’espace public, interviews, installations, performances. Au gré des différents contextes, les parenthèses s’adaptent et proposent de nouveaux possibles.
Installé en Aveyron, il est invité à créer un Miracle !, dans le cadre de Fenêtres sur le paysage. Une occasion de résider quelques temps, s’inspirer des paysages, rencontrer des personnes et mettre ensemble des petits bouts de monde entre parenthèses.
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Résidence de Julie Desprairies en Aveyron
Chorégraphe du paysage, Julie Desprairies réalise des projets pour des espaces urbains et ruraux qui s’appuient sur les caractéristiques plastiques, historiques ou humaines des contextes…